Pourriture homophobe ,Vanneste ( oh c vrai, tjs son badge UMP.....) s'assume... Ce chtimi pourri n'a même pas honte d'utiliser des expressions nazies: "rééduquer les homosexuels"!!!
Quand on est con on est CON... erffff pauvre homme ! Comme disait Audiard... •J’parle pas aux cons, ça les instruit •Les cons, ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît.
"Ai-je donc honte de vivre comme je vis ? Ne puis-je être moi-même qu’au fond d’un souterrain ? Qui m’empêche aujourd’hui d’être publiquement ce que je suis."
L’homosexualité n’est plus condamnée par la législation ? » Par contre il existe une répression sociale : deux hommes (ou deux femmes) montrant l’un pour l’autre une quelconque marque d’affection amoureuse, une attirance sexuelle, sont stigmatisés par une partie de la population. Il existe une homophobie latente qui n’épargne aucune classe d’âge, aucune catégorie sociale, même si les milieux intellectuels, surtout artistiques et culturels, faisant preuve peut-être d’une plus grande ouverture d’esprit, ne sont pas défavorables à l’homosexualité.
L’homosexualité est désignée comme une pratique perverse, anormale, contre nature.
Dans les affichages publicitaires est glorifié le couple hétérosexuel, le couple homosexuel n’étant que peu représenté voire inexistant. Beaucoup d’expressions verbales, couramment employées « on n’est pas des pédés quand même», ont une tendance homophobe. Certaines personnes rejettent l’homosexualité suite à un manque d’information. Par exemple beaucoup font encore l’amalgame entre homosexualité et pédophilie .
Cette stigmatisation fait qu’aujourd’hui encore que des personnes vivent mal leur homosexualité, elles n’osent en parler à leur entourage de peur d’être rejetées, ou que cela ait une incidence sur leur vie professionnelle.
D’autres homosexuels affichent au contraire leur homosexualité : ils sont fiers.
De plus en plus d’homosexuels sortent du placard, remontent du souterrain dans lequel nous avons vécu, afin de vivre notre sexualité au grand jour, d’exister comme homosexuels. Comme individu à part entière.
Sortis de l’ombre, ayant conquis un droit d’exister et d’être reconnus comme des membres à part entière de la société.
Ces derniers mois la « nouvelle » polémique semble être autour du relapse, c’est-à-dire le relâchement de la prévention face aux pratiques sexuelles à risque, dont la forme la plus radicale est le bareback, le rapport non protégé.
Si cette tendance est également de mise chez les hétérosexuels, le débat est houleux au sein de notre communauté. Et « donne une image mauvaise à l’extérieur et également à l’intérieur ».
Je redoute qu’une fausse image de l’homosexualité circule a nouveau dans les médias, portant ainsi atteinte à l’homosexualité, qui risque une nouvelle condamnation morale, qui pendant vingt siècles nous a obligés à vivre cachés.
L’homosexualité n’est plus condamnée par la législation ? » Par contre il existe une répression sociale : deux hommes (ou deux femmes) montrant l’un pour l’autre une quelconque marque d’affection amoureuse, une attirance sexuelle, sont stigmatisés par une partie de la population. Il existe une homophobie latente qui n’épargne aucune classe d’âge, aucune catégorie sociale, même si les milieux intellectuels, surtout artistiques et culturels, faisant preuve peut-être d’une plus grande ouverture d’esprit, ne sont pas défavorables à l’homosexualité.
L’homosexualité est désignée comme une pratique perverse, anormale, contre nature.
Dans les affichages publicitaires est glorifié le couple hétérosexuel, le couple homosexuel n’étant que peu représenté voire inexistant. Beaucoup d’expressions verbales, couramment employées « on n’est pas des pédés quand même», ont une tendance homophobe. Certaines personnes rejettent l’homosexualité suite à un manque d’information. Par exemple beaucoup font encore l’amalgame entre homosexualité et pédophilie .
Cette stigmatisation fait qu’aujourd’hui encore que des personnes vivent mal leur homosexualité, elles n’osent en parler à leur entourage de peur d’être rejetées, ou que cela ait une incidence sur leur vie professionnelle.
D’autres homosexuels affichent au contraire leur homosexualité : ils sont fiers.
De plus en plus d’homosexuels sortent du placard, remontent du souterrain dans lequel nous avons vécu, afin de vivre notre sexualité au grand jour, d’exister comme homosexuels. Comme individu à part entière.
Sortis de l’ombre, ayant conquis un droit d’exister et d’être reconnus comme des membres à part entière de la société.
Ces derniers mois la « nouvelle » polémique semble être autour du relapse, c’est-à-dire le relâchement de la prévention face aux pratiques sexuelles à risque, dont la forme la plus radicale est le bareback, le rapport non protégé.
Si cette tendance est également de mise chez les hétérosexuels, le débat est houleux au sein de notre communauté. Et « donne une image mauvaise à l’extérieur et également à l’intérieur ».
Je redoute qu’une fausse image de l’homosexualité circule a nouveau dans les médias, portant ainsi atteinte à l’homosexualité, qui risque une nouvelle condamnation morale, qui pendant vingt siècles nous a obligés à vivre cachés.
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